Ce qui fait mal c'est l'atterrissage, pas la chute.
Moui, certes.
Mais pendant la chute, tu vois ton atterrissage.
Tu t'imagines faire les choses avec classe.
Mais non, quand il y a chute, l'atterrissage c'est plutôt crash...Mmmh trash!
Non, il n'y aura ni champagne, ni foie gras.
Ou alors, fait maison, le foie.
Tu t'imagines atterrir dans un champ, plein d'herbe.
Tu ne pensais pas aux graviers, tu ne les avais pas vu venir.
Pourtant, tu n'imagines pas l'écosystème qui te regarde en priant son minuscule dieu, sachant son heure venue, et sa liquéfaction sous ton petit corps imminente.
Si tu es miraculeusement sauvé, tu sais envers qui être redevable...